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vendredi 13 décembre 2013

La position de la femme d'avant 60 à nos jours

Ce texte est le produit d'une dissertation que j'ai dû faire pour le cours d'Histoire-Géographie avec pour sujet d'étude "les femmes dans la société française de la Belle Époque à nos jours".
Nous parlions en cours de l'évolution de la position de la femme dans la société. J'ai trouvé pertinent de partager ce document ici car je crois que c'est important que ces vérités reviennent dans l’Église (et dans la société, si c'était possible), que les chrétiens (et les individus) puissent voir qu'il faut revenir aux bases solides... Bibliques.
N'oublions pas qu'une dissertation n'a pas de titre, j'en ai donc, par nécessité, rajouté un à l'article.


 
La société française a grandement évoluée en matière de mœurs ces dernières décennies.
La place de la femme n'a cessée de changer de position et les revendications féministes ont été de plus en plus nombreuses.
Les souvenirs de «Mai 68» sont dans les annales de l'histoire de France et ont marqués jusqu'à ce jour la biographie de la nation.
Mais ces « révolutions » sont-elles bénéfiques pour la gente féminine ?
C'est pour répondre à cette problématique que nous aborderons plusieurs points tels que la place de la femme jusqu'aux années 60, les revendications féministes ainsi que la place de la femme de nos jours.


La femme a depuis toujours occupée la place de l'intendante de la maison. La femme au foyer est, jusque dans les années 1960, considérée comme un positionnement naturel. L'époux, travaillant à l'extérieur, étant chargé, lui, d'emmener le revenu familial dans le logis. Chacun apportant sa pierre à l'édifice de leur manière, sans que l'un ou l'autre ne soit considéré comme inférieur, chacun s'adonnant à son rôle désigné depuis l’Éden.
La complémentarité époux-épouse était ainsi assurée afin d'offrir un cadre sain et équilibré à la maisonnée.
Dans le même temps, des maris abusant de leur position se mirent à dominer leur femme et se fourvoyer d'un machisme exacerbé. La caricature de l'homme rentrant après une journée de travail et qui ne trouve pas le repas prêt et qui, reprenant lourdement la maîtresse de maison – au lieu de l'aider -, lui dit « je bosse toute la journée et toi pendant ce temps tu te tourne les pouces » est assez véridique dans l'idée de ce qu'il se passait malheureusement sous plusieurs toits français.
L'homme, oubliant que la femme est un vase faible ayant besoin d'attentions particulières et dotée d'une grande sensibilité affective, faisait du mal au cœur de son alter ego. Son égocentrisme et sa mégalomanie furent des vecteurs poussant la gente féminine à se lancer dans des combats particuliers.
En effet, à la seconde moitié du 20ème siècle, les mouvements féministes ont connus un élan considérables.
Des femmes désabusées par leur environnement ont commencées à se révolter et à «exiger des droits similaires aux hommes», jusqu'à nier la différenciation entre l'homme et la femme. La forte domination subie par une société très peu enclin à écouter la voix des femmes a finie par déclencher un processus menant à une situation totalement inverse et malheureuse.
Jérôme Prékel, à ce propos, soulève que :
«...un "credo" moderne qui a ouvert à la femme les routes de l’accomplissement professionnel et les chemins du pouvoir. Elle a ainsi pu prouver qu’elle était capable de faire aussi bien que l’homme. Certains avaient sûrement besoin de la démonstration… Et dans le même temps, ces mêmes femmes accomplies ont dû faire un certain nombre de sacrifices et renoncer à une partie de la dimension familiale et maternelle»¹

Les femmes se sont rebeller contre le système mais sont allées bien au delà de ce qui est convenable. Elles ont mit en fusion dans leurs pensées la notion d'égalité et de similarité, oubliant la différence qui caractérise chacun des genres. Les rôles sont devenus comme interchangeables et la confusion identitaire s'est installée durablement. Ainsi les femmes se doivent de supporter de plus en plus de choses auxquelles elles ne sont pas appelées et croule sous des responsabilités tels des jougs, jougs qu'elles se placent elles-mêmes sur elles par fierté. L'individualisme et l'égocentrisme jouent un grand rôle, l'humilité d'une dépendance à l'autre étant sapée et remisée au placard. Le droit de vote est un exemple du progrès obtenu par le biais du féminisme, mais malheureusement le fruit de ce mouvement ne s'arrête pas aux idées bien-fondées.

C'est ainsi qu'en ce début du 21ème siècle les idéologies féministes & homosexualistes telles que la «théorie du genre» sont misent en avant.
La femme moderne nage dans une confusion totale, aboutissement des revendications sociétales des décennies précédentes.
L'indifférenciation des rôles et des genres créèrent des femmes se devant d'accomplir de plus en plus de tâches. La moyenne d'une vie active d'une femme a évoluée en rendant la femme très multiples dans ses obligations. Elle a acquit une certaine indépendance et revendique cette liberté. Mais les dégâts qui y sont liés sont aussi dramatiques.
Bien que le mouvement féministe a permit à la femme d'accéder à des requêtes tout à fait légitimes, les femmes ont poussées le paroxysme trop loin. Se chargeant d'orgueil et refusant le rôle qui leur est définie depuis la Création, voulant s'arroger une place qui n'est pourtant pas forcément envieuse, elles se sont chargées elles-mêmes de fardeaux pesants qui demandent de grandes responsabilités et une émotivité amplement stable afin de faire des choix devant être traités avec clarté.

Au final, délaisser le foyer pour élever des objectifs personnels relève de l'égoïsme et de l'orgueil. L'équilibre du foyer et de la société, de manière consciente ou inconsciente, en souffre tristement. L'instabilité des foyers est exponentiel et le nombre de divorces depuis les années 60 ne cessent de progresser à un rythme phénoménal. Les femmes élèvent de plus en plus seules leurs enfants, essayant de les élever au mieux, mais ne peuvent pas leur accorder toute l'attention nécessaire, travaillant pour gagner le petit pécule. Les pères - démissionnaires - n'y aident pas. Le genre masculin a sa part de responsabilité dans ce processus de désintégration sociétale. Il est donc évident que toutes ces révolutions ne sont bénéfiques ni pour la femme, ni pour chacun.
Mais l'humanité reviendra-t-elle aux solides fondements ou continuera-t-elle à avancer tout droit dans le mur ?...

¹ Jérôme Prékel , La Femme du Jardin d'Eden aux Temps Qui Précèdent le Retour du Seigneur

Livre à lire ici (je ne l'ai pas encore vraiment lu, un peu survoler, lol)

NB : Je ne jette pas ici la pierre sur les femmes qui travaillent et se retrouvent souvent seules à élèver leurs enfants... Mais je parle dans le cadre d'un foyer chrétien qui est appelé à montrer l'exemple, ou le père et la mère sont présents.

1 commentaire:

  1. Je précise déjà que je ne jette pas la pierre sur la femme qui travaille, qui souvent se retrouve à élever seule sesenfants... Faut bien un moyen de subsistance.... Mais quand dans le foyer il y a le père et la mère... Pourquoi aller au delà de l’Écriture ?
    Pourquoi ce sont les étrangers qui élèvent vos enfants, époux et épouses ?
    Alors que le rôle de chacun est très clairement défini par les Saintes Écritures...

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